17 janvier 2012
L'Horloge
Poème de 2004 :
L'Horloge
De son oeil unique, elle distille,
Avec une rigueur impeccable,
Les larmes sous les aiguilles,
Du Temps qui passe, inlassable.
Les sonorités du bronze,
Font résonner dans l’ombre,
Les couleurs alanguies,
Du marbre et de l’Ennui.
Ce soir, rien ne saurait plus arrêter,
La course vaine et folle,
De la Mort apprivoisée,
Et du balancier qui te console.
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