Dans Alésia assiégée

Dans Alésia assiégée

Pif gadget numéro 419

A peine sort-il de l’eau qu’il est intercepté par une patrouille romaine. L’ordre est donné à l’un des soldats, un Numide, de l’emmener au camp pour y être interrogé. Alors qu’ils s’éloignent tous deux, le Numide l’enjoint de s’enfuir. Il le trouve trop jeune pour combattre… Taranis s’échappe puis monte vers Alésia. Il est cependant capturé par des guerriers gaulois qui le prennent pour un espion. Ils s’apprêtent à le mettre à mort quand Viridomar, son grand frère, l’aperçoit et le sauve. Il est ensuite conduit dans la place forte. Là, il voit les effets du long siège que ses compatriotes subissent. « Ce fut ainsi qu’il hait encore plus la guerre quoique ressentant douloureusement en même temps le besoin de la continuer pour libérer la Gaule… ». Il est présenté à Vercingétorix qui prend connaissance du message caché dans la ceinture donnée par Rédorix, message qui annonce l’arrivée de l’armée de secours :  8 000 cavaliers et 240 000 fantassins. Le chef gaulois donne la ceinture à Taranis (« ça fera un bon souvenir ») et lui révèle surtout qu’elle « peut devenir une arme redoutable » en la lançant sur ses ennemis. Taranis est acclamé pour la nouvelle qu’il vient d’apporter mais il pense à Gisé, restée prisonnière des Romains. Il décide d’aller la retrouver. Il repasse les lignes de défense et aperçoit le Numide qui l’a laissé s’enfuir, crucifié la tête en bas dans l’attente d’être décapité au petit matin. Il veut le libérer en remerciements de ce qu’il a fait pour lui. Il lance alors sa ceinture sur le soldat selon les conseils de Vercingétorix. La sentinelle, touchée, s’écroule. Taranis vient de libérer Yambo, le Numide…